Persistance d'intersection avec la section nulle au cours d'une isotopie hamiltonienne dans un fibré cotangent (Q1075660): Difference between revisions

From MaRDI portal
Import240304020342 (talk | contribs)
Set profile property.
Set OpenAlex properties.
 
(One intermediate revision by one other user not shown)
Property / cites work
 
Property / cites work: Q5345609 / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: Lectures on Morse theory, old and new / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: The Birkhoff-Lewis fixed point theorem and a conjecture of V.I. Arnold / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: Pseudo holomorphic curves in symplectic manifolds / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: A Note on the Topological Degree at a Critical Point of Mountainpass-Type / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: Fitted diffeomorphisms of non-simply connected manifolds / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: On the Volume Elements on a Manifold / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: On the Structure of Manifolds / rank
 
Normal rank
Property / cites work
 
Property / cites work: Q4192639 / rank
 
Normal rank
Property / OpenAlex ID
 
Property / OpenAlex ID: W2020217384 / rank
 
Normal rank

Latest revision as of 10:31, 30 July 2024

scientific article
Language Label Description Also known as
English
Persistance d'intersection avec la section nulle au cours d'une isotopie hamiltonienne dans un fibré cotangent
scientific article

    Statements

    Persistance d'intersection avec la section nulle au cours d'une isotopie hamiltonienne dans un fibré cotangent (English)
    0 references
    0 references
    0 references
    1985
    0 references
    Soit M une variété compacte sans bord, \(\phi_ t\) une isotopie hamiltonienne de \(T^*M\) \(t\in [0,1]\). Pour t petit on a évidemment {\#}(\(\phi\) \({}_ t(M)\cap M)\geq C(M)\) (resp. \(C_ g(M)\) si l'intersection est transversale) où C(M) (resp. \(C_ g(M))\) est le nombre minimum de points critiques des fonctions (resp. de Morse) sur M. Le problème résolu dans l'article est celui de la persistance d'intersections pour t grand: {\#}(\(\phi\) \({}_ 1(M)\cap M)\geq \tilde C(M)\) (resp. \(\tilde C_ g(M)\) si l'intersection est transversale) où \(\tilde C(\)M) (resp. \(\tilde C_ g(M))\) est le nombre minimum de points critiques des fonctions (resp. de Morse) sur les 2N-fibrés en boules sur M et coïncidant au voisinage du bord avec une forme quadratique sur les fibres de signature (N,N). La démonstration repose d'une part sur l'idée originale de Conley et Zehnder (ramenant le calcul de {\#}(\(\phi\) \({}_ 1(M)\cap M)\) au calcul du nombre de points critiques d'une fonctionnelle) perfectionné par Chaperon: Par une méthode du type ''géodésique brisées'' le problème variationnel est ramené en dimension finie: {\#}(\(\phi\) \({}_ 1(M)\cap M)=Crit S\) ensemble des points critiques d'une fonction S sur un fibré en boules E contenu dans la puissance fibrée N-ième \(E_ 0\) de \(TM\otimes_ MT^*M\). N est évidemment lié au rayon d'injectivité d'une métrique riemannienne auxiliaire sur M. L'essentiel de l'article est alors consacré à une mise en oeuvre de la méthode variationnelle de Moser: si \(S_ 0\) est la forme quadratique standard de type (N,N) sur \(E_ 0\), les auteurs construisent une interpolation \(S_ u\) (u\(\in [0,1])\) de \(S_ 0\) à \(S_ 1=S\), puis, par une série de majorations ils prouvent que, quitte à augmenter le nombre N de pas, on peut toujours construire, un fibré en boule \(V\subset E\) et une isotopie de plongements de V dans E \(\psi_ u\) (u\(\in [0,1])\) telle que sur un voisinage de \(\partial V\) dans \(E_ 0\), \(\psi^*\!_ uS_ u=S_ 0\) (et une S comme il est écrit). Le théorème résulte alors de ce que {\#}(\(\phi\) \({}_ 1(M)\cap M)=Crit S=Crit \psi^*\!_ 1S\geq \tilde C(M).\) Si \(M=T^ n\), Chaperon avait prouvé que {\#}(\(\phi\) \({}_ 1(M)\cap M)\geq C(M)\). L'extension à M compacte quelconque de la conjecture d'Arnold est alors ramenée à la comparaison, purement topologique, de C(M) et \(\tilde C(\)M). Notons que si \(\pi_ 1M=0\) et si M est de dimension 6 au moins \(C_ g(M)=_ g(M)^{\sim}\).
    0 references
    Lagrangian intersection
    0 references
    symplectic geometry
    0 references
    Hamiltonian isotopy
    0 references

    Identifiers