Symmetric solutions of the equation for the scalar curvature under conformal deformation of a Riemannian metric (Q1184410)

L'A. s'intéresse au problème suivant: étant donnés \((M,g)\) une variété riemannienne compacte et \(G\) un groupe d'isométries de \(g\), quelles fonctions définies sur \(M\) sont courbure scalaire d'une métrique \(G\)-invariante conforme à \(g\). Tout d'abord l'A. démontre un théorème de base concernant le cas positif (\(\mu(M)>0\)). Puis il l'applique à deux cas particuliers. Les développements qu'il effectue sont intéressants et méritent d'être lus. C'est en particulier le cas du théorème en dimension 3. La deuxième application porte sur les variétés l.c.p. (localement conformément plates) en dimension \(n\geq 4\). Pour ces variétés l'A. fait une hypothèse (s) superflue. En effet il pense à tort qu'étant donnés une variété l.c.p. et \(G_ x\) un groupe d'isométries qui laissent \(x\in M\) invariant, il n'existe pas toujours de métriques \(g'=e^ fg\) (conforme à \(g\)), \(G\)-invariante et plate dans un voisinage \(\Omega\) de \(x\). Pourtant il suffit de remarquer que \(f\) est obtenue en résolvant sur \(\Omega\) un système d'équations différentielles \(G_ x\)-invariant qui admet, pour des données nulles en \(x\) (\(f(x)=|\nabla f(x)|=0)\), une unique solution, vue que la condition d'intégrabilité est supposée satisfaite. Cette solution est forcément \(G_ x\)-invariante dans un voisinage de \(x\). La proposition 4.2 n'apporte rien.